La myopie est un trouble visuel de plus en plus répandu qui atteint environ un tiers des adultes sur le sol national. Et, la proportion de ceux qui envisagent de se défaire du port de verres correcteurs via une intervention de chirurgie réfractive est en constante augmentation. Dans leur cas, la question de savoir à qui confier ses yeux pour un tel traitement se pose légitimement, notamment à Paris où l’offre est importante puisque l’on recense plus de 1200 ophtalmologues en Ile de France.
Opération de la myopie : quelques chiffres
Sur le sol national, chaque année, plus de 100 000 myopes sautent le pas et se font opérer pour corriger leur trouble visuel. Et, tous les chiffres disponibles le montrent, les complications de l’intervention sont rarissimes. Ainsi, toutes amétropies confondues, le taux d’infections post-opératoires après Lasik est inférieur à 1%. Autre exemple : 98% des patients traités par PKR s’estiment satisfaits du résultat final.
Les pourcentages mentionnés plus haut mettent en évidence la qualité élevée et globale des interventions de chirurgie réfractive en France, notamment celles pratiquées pour corriger la myopie. Cela s’explique en particulier par la formation homogène et exigeante de l’ensemble des praticiens en exercice. Néanmoins, au moment de choisir l’un d’eux pour traiter une myopie de manière définitive, certains facteurs doivent sans doute être considérés.
Opération de la myopie à Paris : les critères de choix
C’est un fait, les interventions de chirurgie réfractive se passent bien dans l’immense majorité des cas. Mais, au-delà de cette efficacité purement technique, le confort du patient est parfois un aspect oublié.
A l’inverse, certaines cliniques, comme l’Institut Voltaire, ont pris le parti de mettre le ressenti du patient au centre de leurs préoccupations. Cela se traduit notamment par une prise en charge 100% personnalisée et rapide, le jour du diagnostic comme celui de l’intervention. A l’Institut Voltaire, un bilan préopératoire rigoureux et exhaustif dure seulement une quinzaine de minutes et, le jour de la chirurgie, le sujet ne passe pas plus de 45 minutes sur place. Il peut ensuite regagner son domicile pour s’y reposer sereinement.
La qualité des équipements, pour le bilan comme pour le traitement, est aussi un facteur à considérer et ce à plus d’un titre. Par exemple, l’utilisation d’un laser Femtoseconde de dernière génération comme le VisuMax 800 accroît la précision des gestes et la sécurité des patients tout en réduisant la durée des interventions.
Enfin, la polyvalence des techniques opératoires envisageables dans un centre de chirurgie réfractive est un élément essentiel. L’un des enjeux majeurs de la chirurgie réfractive est en effet de choisir la bonne méthode pour le bon patient. Et, pour cela, il faut que le centre choisi pour traiter la myopie soit à même de proposer les différents protocoles existant aujourd’hui pour la prise en charge de ce trouble visuel : Lasik, PKR, SMILE, implants Phake ou encore lentilles artificielles insérées en remplacement du cristallin.
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